Pot poury 91

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Pot poury 91

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La Bergère des Alpes. Comédie en un acte et en prose tirée des contes moraux de M. de Marmontel. Par le chever Dacosta. En 1773.
Prospectus et précis d’un ouvrage, que les Etats de la province de Languedoc ont fait composer sur l’usage de la houille (plus généralement connue sous le nom impropre de charbon de terre), pour faire du feu, sur la manière de l’adapter à toute sorte de feux; et sur les avantages, tant publics que privés, qui résulteront de cet usage. Ouvrage qui va être mis incessamment sous presse, et qui paroîtra avant l’Assemblée des Etats de l’année 1774
Plan général et raisonné des divers objets et des découvertes qui composent l’ouvrage intitulé: Monde primitif analysé et comparé avec le monde moderne, ou Recherches sur les antiquités du monde. Par M. Court de Gébelin, de la Société économique de Berne et de l’Académie royale de La Rochelle
Réflexions sur le jugement rendu par le Conseil de Genève le 5me octobre 1735, contre le Mémoire de Jean Trembley, sindic de la Garde en 1734, sur les Exclaircissemens apologiques de Mr. Le Fort, premier sindic en 1734., sur la Lettre imprimée de Mr. le sindic Chouet et sur le Mémoire justificatif de Mr. le ministre Leger
Discours prononcés dans l’Académie françoise, le jeudi IX. janvier M. DCC. LXXII. à la réception de M. de Belloi
Eloge de M. Fontaine
Discours prononcés dans l’Académie françoise le lundi XI juillet M. DCC. LXXIV. à la réception de M. l’abbé Delille
Oraison funèbre de très-grand, très-haut, très-puissant et très-excellent prince, Louis XV le Bien-aimé, roi de France et de Navarre, prononcée dans l’église de l’abbaye royale de Saint-Denis, le 27 juillet 1774, par messire Jean-Baptiste-Charles-Marie de Beauvais, évêque de Senez
Requête présentée au roi et à nosseigneurs de son Conseil, par Geneviève-Françoise Gaillard, femme séparée de biens du sieur Nicolas Romain, officier invalide, fille et héritière légitimaire de Marie-Anne Regnault, veuve du sieur Marie-François Veron, banquier à Paris; et François-Liégard Dujonquay, docteur ès loix, petit-fils de ladite dame Veron, et son légataire universel; en cassation d’un arrêt du Parlement de Paris, rendu le 3 septembre 1773, contre ladite dame Romain et ledit sieur Dujonquay, en faveur du sieur comte de Morangiés et autres